Reculades et refus de démocratie
En 2019, Vitry a déposé à l’ANRU un projet de 450 M€, après une large concertation avec les habitant·es.
Jugeant la réponse de l’ANRU insatisfaisante, le conseil municipal a décidé d’engager un bras de fer
avec l’État, en s’appuyant sur la mobilisation populaire. Le Covid puis le putsch de Mr Bell Lloch ont mis un terme à cette lutte.
La nouvelle majorité municipale a baissé les bras et réduit ses demandes. Elle a limité le débat avec les habitant·es, jusqu’à la présentation publique, obligatoire, de fin septembre 2022. Face à une discussion stérile et aux intimidations de Mr Bell Lloch, les habitant·es ont massivement quitté la salle.
La signature de la convention avec l’ANRU est prévue début 2023. Autant dire, que si les Vitriot·es veulent se faire entendre, il faudra, très vite, qu’ils fassent du bruit !